Un hot dog 100 % new-yorkais comme dans votre série préférée, des ribs marinés et grillés à souhait, des cupcakes bien crémeux... Indecise nous éclaire sur les incontournables d'un vrai repas « à l'américaine ». Let's go !

Une cuisine variée

Comme le rappelle justement Indecise, « la cuisine américaine ne se limite pas aux seuls hamburgers ! » Tacos, chili con carne, riz cajun façon jumbalaya…, elle est variée, éclectique et multiculturelle. Pour dénicher des dizaines de recettes made in USA, rendez-vous sur www.recette-americaine.com. Un des classiques du menu américain type est le bagel, ce petit pain rond que vous pouvez garnir de fromage à tartiner (Vache qui Rit ou, mieux, du Philadelphia) et/ou d’une tranche de saumon ou de truite, le tout relevé d’un trait de citron. D’autres idées de recettes de bagels sont à découvrir sur www.recettes.de/bagels.

Une viande digne d’un steakhouse

Grâce au site recette-americaine.com, vous transformerez de simples travers de porc en succulents « ribs ». Une pincée de sel, un soupçon d’ail et de sucre, du ketchup et le tour est joué ; on s’en lèche les doigts d’avance ! « La sauce barbecue est aussi une bonne astuce pour caraméliser les viandes », ajoute Indecise. Pour les accompagner, pensez aux hash browns (galettes de pomme de terre frites), au coleslaw (recette de salade de chou et de carottes émincée) ou à une croustillante César Salade.

Une boisson ?

Il y a bien sûr les classiques, les incontournables (Pepsi, Coca). Mais connaissez-vous le Dr.Pepper, plus ancienne marque de soda américaine ? S’il a l’aspect d’un cola, il a un goût d’amande amère et de cerise. Surprenant ! De l’autre côté de l’Atlantique, la citronnade maison est aussi très courante. Et c’est facile à réaliser à la maison : mélangez le jus de quatre citrons frais et ajoutez-y six cuillères de sucre en poudre. Enfin, si vous êtes tenté par un milkshake, il vous suffit de mixer deux boules de glace à la vanille avec du lait. Ajoutez ensuite ce que vous aimez : des Speculos, par exemple. Vous pouvez aussi consulter le site www.milk-shake.fr

N’oubliez pas le dessert !

Envie d’une part de cheesecake bien fondant ? Rien de plus simple avec www.allrecipes.fr. Trente minutes de préparation suffisent : du St-Môret, du sucre, du beurre et des petits beurres émiettés… Autre incontournable, les cookies. Comme Laura Todd (www.lauratodd.fr), « The » spécialiste, vous pouvez remplacer le chocolat par des raisins secs, des noix et des flocons d’avoine. Et Indecise de suggérer, pour les amateurs et curieux, un carrot cake (gâteau à la carotte et cannelle) mœlleux à souhait.

Pour les aventuriers…

Céréales à la guimauve, bœuf séché… Les aventuriers du goût consulteront sans aucun doute le site www.myamericanmarket.com. Laissez-vous tenter ! Pour plus d’idées, Marion vous suggère de consulter les livres de cuisine de Jamie Oliver ou de regarder les émissions de Martha Stewart. Pour que la cuisine made in USA n’ait plus aucun secret pour vous !

Et vous, quelle est votre recette américaine préférée ?

De la traditionnelle sauce bolognaise à la napolitaine en passant par le pesto, on connaît nos classiques. Mais parfois, ça ne fait pas de mal d’innover un peu. Incontournables ou bluffantes, découvrez huit recettes de sauces auxquelles on n’aurait pas forcément pensé. 

Le pesto de pistache ou de roquette pour changer du basilic : 

-    Mixez 75 g de pistaches décortiquées et non salées

-    Ajoutez 15 grains de poivre blanc moulu et 7 cuillères à soupe d’huile d’olive 

-    Mixez le tout une nouvelle fois. C’est prêt ! 

-    Épluchez trois gousses d’ail

-    Râpez grossièrement 70g de parmesan 

-    Lavez, séchez et équeutez les feuilles de 100g de roquette.

-   Placez les gousses d’ail, le parmesan, les feuilles de roquette, les pignons de pin et 15 cl d’huile d’olive dans le bol d’un mixeur 

-    Mixez le tout jusqu’à obtention d’une pâte lisse. Ajoutez huile d’olives et sel si besoin. 

La crème de courgettes pour une recette toute douce : 

-    Découpez de longs rubans de courgettes bien fermes à l’aide d’un économe et faites les cuire à feu doux dans un fond d’huile pendant 25 minutes

-    Ajoutez-y ensuite une gousse d’ail, un bouquet de persil haché, salez et poivrez

-    Mixez le tout pour en faire une purée et ajoutez-y un bouillon de volaille et 20 cl d’eau. Laissez mijoter 10 minutes

-   Battez deux jaunes d’œufs en omelette et ajoutez-les à la préparation hors du feu avec 80 g de gruyère. Servez le tout chaud avec du parmesan pour les gourmands. 

Sauce au poulet et aux agrumes pour un zeste d’originalité : 

-    Émincez un filet de poulet, prélevez les zestes d’une orange et d’un citron et pressez l’orange

-    Faites griller 3 cuillères à soupe de pignons de pin

-    Faites dorer le poulet dans un poêle et déglacez le jus d’agrumes. Ajoutez les pignons grillés et 20 cl de crème liquide. Salez et poivrez

-    Mélangez aux pâtes et saupoudrez de parmesan

Sauce aux noix pour rester dans le thème de la saison :

-    Avant préparation, disposez 250g de cerneaux de noix dans un bol et recouvrez-les d’eau bouillante. Laissez tremper pendant 3 min, puis égouttez. Laissez tiédir, puis hachez finement les cerneaux de noix.

-    Disposez les cerneaux hachés dans un petit poêle on, en y ajoutant 4 cuillères à soupe d’huile d’olive et deux cuillères à soupe de crème fraîche liquide. Salez et poivrez, puis mélangez bien 2 à 3 minutes à feu doux. 

-    Retirez le poêlon du feu, laissez tiédir quelques instants puis mixez le mélange jusqu’à l’obtention d’une consistance crémeuse et homogène. Servez chaud.

Sauce tomate aux lentilles pour les longues soirées d’hiver : 

-    Émincez un gros oignon et un poireau. Râpez une carotte et faites suer le tout dans une cocotte huilée pendant 8 minutes

-    Ajoutez une boîte de tomates pelées, des herbes de Provence et un verre de vin blanc. Salez, poivrez et laissez mijoter 45 minutes pendant que vous faites cuire 3 verres de lentilles

-    Avant que les lentilles ne soient complètement cuites, égouttez-les et plongez-les dans la sauce tomate. Laissez mijotez jusqu’à ce que la préparation ait la texture d’une bolognaise classique

Sauce aux olives noires pour décoller en Méditerranée : 

-    Mixez 20 olives noires dénoyautées à un verre d’huile d’olive et une gousse d’ail

-    Poivrez mais ne salez pas, les olives le sont déjà suffisamment. 

-    Pas besoin de la cuire, vous pouvez directement en nappez vos pâtes. Dégustez en toute convivialité. 

Sauce à la vodka pour épater : 

-    Faites revenir un oignon en dés dans du beurre jusqu’à ce qu’il soit doré et tendre

-    Ajoutez 20 cl de vodka et laissez cuire 10 minutes

-    Incorporez une boîte de coulis de tomates et laissez mijotez 30 minutes 

-    Ajoutez 20 cl de crème fraîche liquide et laissez à nouveau mijotez pendant 30 minutes. Servez avec modération. 

Sauce marinara pour revisiter la tomate : 

-    Dans une casserole, faites revenir 4 gousses d’ail dans de l’huile d’olive

-    Une fois dorée, ajoutez-y une boîte de tomates concassées, une cuillère à soupe de vinaigre balsamique, quelques feuilles de basilic, une cuillère à soupe de câpres. Salez, poivrez et laissez mijotez 45 minutes. 

-    Savourez, cette sauce convient à tous types de pâtes

Acheter de la viande de qualité relève aujourd’hui du casse-tête. Faut-il préférer celle du boucher? Quel label choisir? Le point avec nos experts.

La viande « 1re catégorie », c’est forcément la meilleure?

Non! Les différentes catégories de viande sont liées à l’emplacement des morceaux. Les plus maigres (moins de 5 % de matières grasses), qui correspondent au quartier arrière de l’animal, sont qualifiés de 1re ­catégorie. Ces morceaux se cuisent à la poêle ou au gril. La 3e catégorie désigne les viandes plus grasses (plus de 15 % de matière grasse) ou tendineuses, issues du quartier avant. La 2e catégorie se situe entre les deux. Moins chères, plus tendres, les viandes des 2e et 3e catégories nécessitent une cuisson plus longue. 

Mais il ne faut pas confondre qualité et type de catégorie. Une viande de 2e catégorie de bonne qualité donnera un excellent plat mijoté, alors qu’un steak de 1re catégorie pourra être sans saveur si la viande est de qualité médiocre. Et serait bien trop dur dans un plat mijoté.

Qu’achète-t-on sous le nom de « bœuf »?

On peut se trouver face à plusieurs types de bovins: génisses, jeunes bovins, bœufs, taureaux ou vaches « réformées ». Ces dernières sont d’ex-vaches laitières ou dédiées à la reproduction, plus âgées, engraissées quelques semaines avant abattage. Elles sont évidemment bien moins chères que les bovins élevés pour leur viande. « Elles représentent environ 40 % de la consommation de “bœuf” en France, expliquent Philippe Pouillart et Jean-Paul Bonhoure. Sur le plan de la composition nutritionnelle, il n’y a pas de différence avec des races à viande. » Côté goût et tendreté, les avis divergent. « Une vache plus âgée a moins de collagène, responsable du côté coriace, précisent nos spécialistes. Et son engraissement lui permet de retrouver le taux de graisse d’une race à viande. » Pour d’autres, rien à voir avec un bœuf d’Aubrac ou de Salers…

Poulet en barquette, que regarder sur l’étiquette?

« Pour un poulet entier, la “classe A” ne veut rien dire: elle indique simplement que l’aspect de la carcasse répond aux exigences visuelles », expliquent nos experts. Cherchez les autres mentions. « Standard » et « certifié »? Vous avez affaire à des volailles élevées de façon intensive (de 18 à 25 au m2!), nourries avec divers mélanges de végétaux et de compléments vitaminiques. Sur le plan des traitements vétérinaires, plus l’élevage est intensif, plus les traitements préventifs antibiotiques sont fréquents. « Label Rouge »  suivi d’« élevé en plein air » ou « en liberté »? Bio? Le poulet a été élevé au sol, dans des bâtiments et à l’extérieur, et nourri en majorité avec des céréales (à 95 % bio pour ce dernier label). Les volailles bio, Label Rouge ou Bleu-Blanc-Cœur affichent une teneur en lipides plus faible (- 10 %) et de meilleurs acides gras (plus d’insaturés, notamment oméga-3).

Abats, steak haché, viande à manger crue… Faut-il impérativement les acheter chez un boucher?

« Aujourd’hui, pour des raisons d’hygiène, les abats sont mis en caissettes directement à l’abattoir, répondent nos experts. Ainsi, qu’ils soient vendus en boucherie ou en grandes surfaces, ils viennent le plus souvent de la même filière. » Pour le reste, tout dépend du boucher: s’il s’agit d’un simple détaillant, sa viande sera équivalente à celle d’une grande surface. Certains bons rayons de supermarchés peuvent même être supérieurs. S’il s’agit d’un artisan boucher qui achète sa viande « sur pied », vous serez forcément face à une viande mieux sélectionnée, découpée selon les règles de l’art. Il pourra choisir les morceaux à hacher et préparer des steaks hachés ou des tartares moins gras… sans parler de la traçabilité, infiniment plus précise.

Penne Rigate, Farfalle, Fusilli… Il existe des centaines de variétés de pâtes aux noms plus appétissants les uns que les autres. Mais si cette diversité peut laisser parfois pantois, sachez que chaque type de pâte a une utilisation et des caractéristiques bien spécifiques. Quelle sauce pour quelles pâtes ? Suivez le mode d’emploi pour ne plus vous mélanger les couverts et trouver les meilleures associations de goûts afin de ravir vos papilles. 

Les pâtes longues : de leur forme allongée, elles enlacent parfaitement les sauces qui les accommodent. On préfèrera donc les relever de sauces fluides et crémeuses composées d’huile d’olive, de légumes, de viande et de fromage. Pour varier les plaisirs, pensez à jouer sur les différentes tailles de spaghetti, car là aussi le choix est vaste. Il en existe plusieurs calibres, du plus fin au plus épais et même des troués à la manière de très longs macaronis. Enfin, si comme la grande majorité des gourmands, vous pensiez que les spaghettis se mariaient parfaitement à la bolognaise, sachez que vous vous mettiez le doigt dans l’œil. Les chefs italiens sont formels, les meilleures alliées de la viande hachée sont les tagliatelles ! Celles-ci créent des bouchées plus gourmandes une fois entortillées autour de la fourchette. 

Les pâtes courtes : petites préférées des enfants, les pâtes courtes conviennent aux sauces riches et variées à base de viande ou de légumes. Farfalle, Orechiette, sont assez robustes pour supporter de lourds agréments quand les coquillettes se marient mieux avec des fromages tels que le reblochon ou le fromage de chèvre. Les pâtes courtes sont également les plus aptes à égailler une salade car leur densité les rend plus agréables à mâcher. Quant aux plus petits formats de pâtes, réservez-les pour les soupes, qu’elles rendent plus gourmandes et même ludiques lorsqu’il s’agit des fameuses pâtes alphabet. 

Les pâtes creuses : elles sont les meilleures amies des sauces consistantes et des fruits de mer. Leur trou permet de mieux retenir la sauce, dont elles se trouvent garnies et gorgées quand elles sont bien mélangées. En forme d’anneaux, elles accueillent moules ou scampis, capturés en leur cœur. En une bouchée, la saveur de la pâte et celle de son accompagnement ne forment plus qu’un. Si l’on pousse un peu du côté des pâtes creuses, autant parler des cannellonis, pâtes à farcir, qui feront la joie de vos plats à gratiner une fois garnis d’épinards ou de sauce bolognaise. 

Les pâtes striées : régulièrement, les créateurs de pâtes se creusent les méninges pour trouver la forme de pâte ultime, celle dont la consistance et la force mettront parfaitement en valeur la sauce qui l’accompagne et créeront en bouche une explosion de saveurs. Pour le moment, ce sont les pâtes striées qui remplissent le mieux ces critères, à l’image des torsades ou des cellentani. En effet, leurs rainures retiennent les sauces, qu’elles soient très fluides ou au contraire plus épaisses. Pour peu qu’elles soient creuses, et c’est le summum. 

Les pâtes aux œufs : déjà savoureuses en elles-mêmes, les pâtes aux œufs ne doivent pas être accompagnées de sauces trop relevées ou trop goûteuses. Elles s’associent de préférence aux produits laitiers plutôt qu’aux légumes. Les préparations à base de crème sont donc indiquées, surtout si elles sont accompagnées de champignons dont l’arôme devient caressant au contact de la douceur conférée par l’œuf à nos amies les pâtes.

Ah, les paradoxes alimentaires… Il en existe des tas ! Bons pour la santé, ces aliments sont pourtant mauvais pour nos dents… Le saviez-vous ?

Le lait

On ne le dira jamais assez : nos os ont besoin de calcium ! Cela est essentiel pour assurer la bonne santé de notre squelette. Mais le lactose contenu dans le lait est un sucre naturel, qui peut causer des caries. C’est la raison pour laquelle les pédiatres recommandent aux parents de ne pas envoyer leurs jeunes enfants au lit avec un biberon de lait. C’est aussi pour cela qu’il est recommandé de se brosser les dents après le petit verre de lait du soir…

Les agrumes

Les fruits, et notamment les agrumes, sont responsables de nombreux problèmes dentaires. En effet, la plupart sont acides et bourrés de sucre. Leurs fibres se logent assez facilement entre les dents, ce qui expose l’émail à de nombreuses attaques. Lorsque vous mangez un fruit, si vous n’avez pas l’occasion de vous brosser les dents, ayez au moins le réflexe de vous rincer la bouche avec un peu d’eau…

Le jus de fruits

Les jus de fruits, et en particulier les jus d’agrumes comme l’orange ou le pamplemousse, sont également acides et remplis de sucre. Bien sûr, vous pouvez en consommer un peu chaque jour, mais il est impératif de ne pas en consommer tout au long de la journée ! Laissez vos dents baigner dans l’acidité et le sucre toute la journée ne permet pas à votre salive de jouer son rôle de régulation de l’acidité…

Les fruits secs

Les fruits secs sont moelleux et collent aux dents. Ils contiennent la même quantité de sucre qu’un fruit normal mais de manière plus concentrée, ce qui expose encore davantage vos dents. Ainsi, après avoir mangé des fruits secs, il est préférable de se laver les dents sans trop attendre.

Les boissons pour sportifs

Parce qu’elles sont dédiées à l’effort physique, on a tendance à penser que les boissons énergisantes sont saines. Pourtant, ces dernières sont généralement saturées de sucre et font l’effet d’une bombe au contact des dents. Si vous avez vraiment besoin d’un coup de fouet pendant l’effort, optez pour une bouteille d’eau enrichie en électrolytes.

Les vitamines à croquer

Vous n’avez pas le temps d’opter pour une alimentation totalement équilibrée et voulez miser sur des vitamines à croquer ? Pourquoi pas. Mais la raison pour laquelle ces vitamines ont généralement bon goût, c’est surtout en raison de leur teneur en sucre. Pendant que vous croquez, de petites particules vont se loger entre vos dents et créer un environnement idéal pour la prolifération des bactéries. Optez pour des compléments ou vitamines à avaler directement avec un grand verre d’eau !

Le vin rouge

Si aujourd’hui les spécialistes nous disent qu’un verre de vin rouge peut avoir des effets positifs sur le coeur, son acidité et sa capacité à éroder l’émail restent bien réelles. Pour éviter des dommages à long terme, il est recommandé de se brosser les dents moins d’une heure après avoir consommé votre verre de vin. Si le brossage n’est pas possible, rincez au moins votre bouche avec de l’eau…

Au quotidien, certaines habitudes jouent contre vous et votre santé. Maquillage, talons hauts, lentilles de contact… Qu’est-ce qui est mauvais pour vous au juste ? Un petit point s’impose !

S’endormir avec du maquillage

Le problème ? Vous le savez déjà, dormir avec votre maquillage peut provoquer l’apparition de quelques boutons. Mais savez-vous que des pores obstrués sont aussi un terrain fertile pour les bactéries ? Cela peut notamment contribuer à la formation de petites bosses dures à la surface de la peau. Au niveau des yeux, cela peut aussi provoquer des conjonctivites.

Pour y remédier : Même si vous êtes fatiguée en rentrant le soir, optez pour un lavage, même rapide, de votre visage. Un tour de coton imbibé de lait démaquillant vous épargnera bien des désagréments plus tard…

Porter des chaussures plates

Le problème ? A force d’entendre dire que les talons hauts peuvent provoquer des problèmes de dos et de talon, vous avez opté pour des chaussures plates. Mais ces chaussures, par exemple les ballerines, n’offrent aucune stabilité au talon et aucun rembourrage. Cela peut notamment provoquer des inflammations et des tendinites au niveau du pied et des chevilles.

Pour y remédier : Si vous devez marcher longuement et fournir des efforts, optez pour des baskets lors de vos activités. Mais la principale chose à faire, c’est de pratiquer des étirements du pied quand vous le pouvez, pour détendre vos tendons et vos muscles.

S’assoupir avec ses lentilles de contact

Le problème ? Vous ne risquez pas seulement de vous réveiller avec les yeux secs. Lorsque vous vous endormez avec vos lentilles, le risque est accru de développer des infections graves de la cornée. Ces infections bactériennes peuvent entrainer une réduction permanente de la vision.

Pour y remédier : L’usage des lentilles nécessite une bonne hygiène. Toujours se laver les mains avant de mettre les lentilles, utiliser une solution désinfectante après les avoir retirées… Cela limitera déjà les bactéries à la surface des lentilles. Sinon, optez pour des lentilles journalières !

Manger au fastfood trop souvent

Le problème ? Deux ou trois fois par mois, pourquoi pas, mais n’abusez pas du fastfood si vous êtes sujet aux problèmes de poids et aux soucis de santé qui peuvent en découler. La restauration rapide est riche en graisses saturées et en sodium, rien de très bénéfique pour votre santé…

Pour y remédier : Il est temps de vous interroger sur vos habitudes alimentaires. Tenez un journal de bord dans lequel vous consignez chaque jour ce que vous mangez. Cela vous permettra de faire un solide état des lieux !

Consommer trop d’alcool

Le problème ? Difficile de se rendre compte du moment où l’on passe d’une consommation d’alcool modérée, à trop d’alcool… Outre la caractéristique gueule de bois, vous risquez quelques autres effets secondaires désagréables. Chez les femmes, une consommation excessive d’alcool peut perturber le cycle menstruel et augmenter le risque de stérilité, de fausse couche, d’accouchement prématuré… Chez la femme, le risque de maladie du foie est également plus élevé, tout comme les risques de cancer de la bouche, de la gorge, de l’oesophage,  du colon ou encore des seins. Rien que ça…

Pour y remédier : Le niveau modéré de consommation d’alcool pour une femme est d’environ un verre par jour. Notez scrupuleusement pendant deux semaines votre consommation d’alcool quotidienne, puis essayez de réduire si cela vous semble excessif. Il existe désormais de très bons cocktails… sans alcool !

Trop lourds et trop caloriques les féculents ? Pas si vous les consommez avec parcimonie et les accommodez de façon futée ! Riches en fibres, bourrés de vitamines et de minéraux, ils forment un ingrédient indispensable à notre bien-être et sont loin d’être aussi malsains qu’on veut bien nous le faire croire. Si vous n’êtes pas convaincue, ces arguments devraient vous permettre de «dédiaboliser» ce plat de pâtes qui vous fait tellement envie. 

Les pâtes ne font pas grossir  

Haro sur les idées reçues ! Bannies des régimes diététiques depuis des décennies, les pâtes sont pourtant pauvres en graisses d’origine animale et en sucres alors qu’en contrepartie elles apportent vitamines, glucides complexes et sels minéraux dont l’organisme a un besoin vital. Riches en fibres, elles ont en plus l’avantage de remplir l’estomac rapidement et permettent ainsi de consommer des portions moindres tout en atteignant une réelle sensation de satiété.

Leurs apports nutritifs sont essentiels et les nutritionnistes recommandent chaudement d’intégrer un féculent dans chaque menu pour éviter les carences. D’ailleurs, le régime méditerranéen qui fait la part belle aux pastas est l’un des plus sains et équilibrés au monde. Car accompagnées de poisson, de légumes frais et assaisonnées d’huile d’olive, les pâtes se révèlent être un succulent allié pour votre silhouette. Et ça, les Italiens l’ont bien compris.

En croisade contre les kilos ? Bannissez les sauces, souvent bien trop grasses, et non les pâtes. Car sachez qu’en réalité une portion de 200g de pâtes rehaussées d’un coulis de tomates est équivalente au niveau calorique à une salade verte assaisonnée de deux cuillères à soupe d’huile d’olive. Vous pouvez donc reposer cette fade laitue.

Légumes, fromage blanc, herbes fraîches, il y a mille façons de rendre les pâtes moins grasses. Un simple changement dans la cuisson fait toute la différence, car al dente, les pâtes sont moins caloriques. Se digérant moins vite ainsi cuites, elles ne réabsorbent pas l’amidon libéré dans l’eau au cours de leur cuisson et leur indice glycémique s’en voit nettement diminué.

Elles empêchent les fringales et améliorent l’endurance physique 

Complètes, les céréales apportent des minéraux, des vitamines du groupe B, et régulent le transit intestinal. Ayant une plus haute teneur en fibres, elles se digèrent plus lentement et évitent les fringales. C’est là aussi la grande qualité des féculents. Grâce à la quantité élevée d’amidon qu’ils contiennent (entre 70 et 80%), ils aident le corps à carburer tout au long de la journée. Sucres lents, ils diffusent de l’énergie progressivement dans le corps. Alors, adieu fringales et grignotages qui sont finalement les causes principales de la prise de poids.

Les glucides complexes dont sont composées les pâtes sont indispensables au bon fonctionnement du cerveau. Leur lente diffusion dans l’organisme permet au corps d’être performant en cas d’efforts physiques ou intellectuels. Coups de barre et coups de pompe ne sont alors plus qu’un mauvais souvenir.

Elles préviennent de certaines maladies et sont anti-stress 

S’ils ne sont pas mauvais pour la ligne, les féculents et les pâtes plus particulièrement, sont excellents pour la santé. D’abord, les fibres permettent de baisser son taux de cholestérol. Des études ont même démontré qu’une consommation régulière de céréales pouvait réduire le risque de maladies coronariennes et de certains cancers de près de 30%. Complètes, elles sont un bon préventif au cancer du colon. Les vitamines B1, B2 et B6 qu’elles contiennent, régulent l’équilibre digestif, tissulaire et nerveux.

Enfin, puisqu’une portion de pâtes représente un quart des besoins quotidiens en magnésium, on peut les considérer comme anti-stress. Quant à leur teneur en tryptophane - acide aminé nécessaire à la synthèse de l’hormone du sommeil - elle aide à l’endormissement et prépare le corps à sombrer comme il faut dans les bras de Morphée. Vous voyez une autre raison de vous en passer ?

La rupture amoureuse est une étape difficile de la vie. Certains n’en vivent qu’une, d’autres les cumulent. Mais comment s’en remettre ? Pour vous, les internautes de Yahoo! pour Elles partagent leurs avis et expériences…

Quand nous vivons une rupture amoureuse, nous nous retrouvons tous confrontés à un étonnant paradoxe : Si nous avons besoin du réconfort des autres, aucune de leur parole ne parvient à nous soulager. Pourtant, les adages ne manquent pas comme nous le démontre Serval : « Quand on tombe de cheval, il faut remonter de suite ! ». Isabelle M lui emboîte le pas : « La vie continue », c’est vrai, mais encore faut-il retrouver des repères…

Généralement, les meilleurs conseils s’appliquent surtout… aux autres. Difficile de voir le bon côté des choses quand on a l’impression que le monde s’écroule autour de nous. Bill C suggère de se mettre un petit coup de pied au derrière : « Je pense qu’il faut avant toute chose éviter de s’enfermer, de se replier sur soi. C’est souvent difficile de se confronter au regard des autres quand on vit une rupture, car on se sent diminué, cassé, brisé… Mais se forcer au regard des autres, sortir, bouger, prendre le taureau par les cornes, cela aide bien souvent à ne pas rester dans une inertie qui pourrait être fatale pour le moral » explique-t-il. TheBee est un peu du même avis : « Relativiser à fond. Certes une histoire d’amour qui se termine c’est triste, mais tout le monde s’en remet. Alors on évite de se lamenter sur son sort, de ressasser, personne n’est mort après tout. Alors on sort avec ses amis, en évitant de ne leur parler que de ça, et on recommence à vivre très vite ».

Pour Patri, le processus est plus personnel, plus intime. Et cela passe par un petit ménage : « J’ai d’abord viré de chez moi tous nos souvenirs communs. J’ai aussi viré tous les sms, mails, etc. Puis j’ai viré de mes téléphones ses numéros. La tentation d’envoyer un sms la nuit en étant bourré, ou alors lors d’un moment de déprime, c’est ce qu’il y a de pire. J’ai bloqué aussi son numéro, je ne voulais pas qu’elle puisse me contacter, genre pour me souhaiter un joyeux noël ou un bon anniversaire. Puis, je me suis plongé dans mon travail à 300% sans compter les heures et les week-end », l’occasion pour lui de trouver un nouvel élan dans sa vie personnelle. D’ailleurs, Sam aussi est assez partisane de la théorie du mal pour un bien : « Comprendre la raison même de la rupture, se secouer et dire que c’est fini, mais ce n’est pas la fin du monde, demain sera forcement plus beau, et il ne peut nous arriver que ce qui est meilleur pour nous! Sourire et reprendre son quotidien comme il se doit ! ».

La vérité est triste : il n’y a pas de solution miracle et les ruptures s’imposent à chacun, avec leurs nuances, leurs rythmes. AntigeL nous explique ainsi que « les personnes ne réagissent pas de la même manière, après une rupture. Il n’y a pas de solution miracle. La douleur de la séparation sera ressentie selon les circonstances et l’investissement sentimentale consentis envers cette personne ». Dans ce processus long et pesant, Ocean conseille d’opter pour une démarche frontale, lucide, et de ne pas fuir les émotions même négatives qui s’imposent à nous : « Si l’on réussit cette option, on en sort considérablement renforcé, serein, sûr de soi, avec « ni haine ni oubli ». Il reste des cicatrices mais les blessures se referment bien, le passé ne fait plus mal. Comme on a tout affronté, les souvenirs sont dévitalisés, on peut les classer et les ranger à leur place sans avoir besoin de les refouler dans l’inconscient ». La clé, sans doute, pour se rapprocher un peu plus de soi, et donc, un peu plus du bonheur…

Et vous, comment reprenez-vous le dessus après une rupture amoureuse ?

Belles mains : les mains nettes, sans assécher

Nos mains sont tous les jours en contact avec des savons et des détergents agressifs. Heureusement, on peut éviter la surexposition aux produits chimiques en se fabriquant une formule nettoyante, sans savon. On essaie cette recette beauté : on ajoute trois gouttes de l'huile essentielle assainissante d'arbre à thé (tea tree) à un flacon d'eau de rose. Connue pour ses propriétés antibactériennes, l'eau de rose est aussi apaisante et antioxydante (donc idéale pour le derme sensible des mains). On utilise la préparation à la place de son savon pour laver l'épiderme, sans le dessécher.

Belles mains : exfolier sans abîmer

Les mains peuvent profiter d'un gommage rajeunissant. Mais pas les mêmes que ceux que l’on fait pour le corps, souvent trop abrasifs pour les mains. Il vaut mieux les exfolier une ou deux fois par semaine avec un gommage du visage. Il élimine les cellules cutanées mortes sans irriter la peau.

Et si on ne souhaite pas exfolier ses mains ? On se tourne vers des produits laitiers ! On plonge nos mains dans une bassine de lait entier tiède pendant 15 minutes. On le sait moins, mais le lait a le pouvoir d’exfolier la peau, sans ajouter de particules abrasives.

Belles mains : Les hydrater pour les garder jeunes

La clé d'une belle peau est l'hydratation, surtout après avoir exfolié. On choisit une crème nourrissante à base d'un beurre végétal, dont le karité et le cacao. Le jour, on opte pour des crèmes relativement légères, car plus pratiques. Petite astuce : on masse bien ses mains en mouvements circulaires pour les rajeunir (on stimule ainsi la circulation sanguine et on accélère la régénération de la peau). 

Si l'on préfère, on applique un masque adoucissant, à faire soi-même : on mélange une cuillère à soupe de flocons d'avoine et de yaourt nature, une cuillère à café de miel et de citron, et cinq gouttes de l'huile essentielle d'amande douce. On laisse agir 20 minutes et on rince avec de l'eau chaude. Les acides naturels du yaourt et du citron enlèvent des petites peaux, pendant que les autres ingrédients hydratent et protègent les mains des irritations cutanées.

La nuit, on soigne bien les mains

La nuit agit comme une réparatrice : on utilise un soin plus riche sur ses mains en se reposant. Avant de se coucher, on badigeonne ses mains soit d'une crème à base de l'huile, soit d'une huile végétale pure (noix de coco, olive, sésame). On n’hésite pas à en mettre beaucoup.

Une option : on peut porter des gants en coton pendant la nuit (pour éviter les traces sur les draps !). Au réveil, les mains auront absorbé l'huile nourrissante et seront bien adoucies.

Belles mains : les protéger du froid et prendre soin de ses ongles

Belles mains : bien protégées du froid

On souligne fréquemment l'importance de protéger la peau délicate du visage. Et les mains, alors ? Elles sont aussi fragiles que le visage donc elles doivent être très soignées. La période hivernale dessèche la peau, la rendant vulnérable aux fissures et aux crevasses.

On protège ses mains avec cette crème réparatrice à base d'émollients naturels, à faire soi-même : on fait fondre dans une casserole au bain-marie 4 cuillères à soupe de beurre de cacao et de cire d'abeille. On ajoute 4 cuillères à soupe d'huile d'amande douce et on mélange bien, jusqu'à ce que la texture soit lisse et onctueuse. On verse la préparation dans un pot stérilisé et le laisse durcir, à appliquer aussi souvent que nécessaire.

Belles mains : se protéger du soleil en toute saison

Les rayons UV peuvent affecter la peau toute l’année et être responsables des taches de vieillesse. D’où l’intérêt de les protéger avec un filtre. Avoir mis son soin visage avec SPF, on n'a qu'à appliquer le filtre solaire sur ses mains (indice 15 minimum).

Belles mains : ne pas oublier les doigts

Des ongles en bon état sont un bon indicateur de notre santé. On veut toutes des ongles brillants, bien résistants et sans cuticules. Ici, la vitamine E est un ingrédient indispensable. On se trempe les ongles 10 minutes dans un bol d'huile d'olive, riche en antioxydants. On masse le contour des ongles, ce qui les renforce tout en adoucissant les cuticules. Le résultat ? Des ongles durables, lisses et brillants.

Pour les fumeuses, une astuce contre les doigts jaunes : on frotte 10 minutes l'index et le majeur avec le moitié d'un citron. Astringent naturel, ses propriétés nettoyantes pénètrent dans la peau sans l'assécher. Afin d'éviter de nouvelles taches, on se masse les doigts à l'huile d'olive, qui serait très efficace contre les taches de nicotine.

Encore mal connue, cette super-plante prend soin de tous les types de peau et de toutes les chevelures. Dans ses feuilles, le précieux gel d’aloe, qui s’utilise frais ou déjà conditionné, pour plus de facilité.

L’aloe vera, ultrariche en vitamines et en minéraux

Parmi les trois cents espèces d’aloès existantes, l’aloe vera est l’un des seuls à avoir des vertus cosmétiques. Il était déjà utilisé dans l’Antiquité : Cléopâtre s’en servait, avec le lait d’ânesse, pour ses soins de beauté ! Sous ce nom exotique se cache un arbuste qui s’épanouit partout où il fait chaud et sec. Ce sont ses feuilles généreuses qui abritent le fameux gel d’aloe. Longues de 80 cm, elles peuvent atteindre jusqu’à 10 cm de large.

Comme les feuilles repoussent miraculeusement, on peut les couper par deux ou trois tout au long de l’année pour recueillir la précieuse gelée. Celle-ci contient pas moins de deux cents composants, dont une vingtaine de minéraux et une douzaine de vitamines. Plus dix-huit acides aminés dont sept essentiels (non produits par l’organisme), des polysaccharides (sucres complexes), des enzymes et des protéines. Le tout lui assure des propriétés hors pair, notamment cicatrisantes et adoucissantes.

On l’utilise pur ou dilué ?

En cosmétique, on peut utiliser le gel pur d’aloe vera en l’achetant frais sur les marchés bio ou en conservant la plante dans un pot. Mais on le trouve aussi en tube (par exemple, sur www.aroma-zone.com) : c’est l’option la plus économique. En revanche, il faut l’employer en petite quantité, car il colle littéralement à la peau. Si vous préférez une texture plus fluide, choisissez plutôt une crème à base d’aloe vera.

Aloe vera : un hydratant hors norme !

Le jus de la plante contient 85 % d’une eau riche en minéraux et en vitamines, qui alimentent les cellules cutanées. Ce qui lui assure un fort pouvoir hydratant, encore renforcé par sa teneur en poly- et monosaccharides. Des sucres capables de retenir l’eau. Il est donc présent dans des soins de jour ou de nuit, des crèmes hydratantes et des laits corporels. Des études ont montré aussi que l’aloe vera a une action positive sur la fonction barrière de la couche cornée. En clair, l’eau reste "piégée" dans l’épiderme et ne peut plus s’évaporer… La peau est donc bien hydratée plus longtemps !

Aloe vera : un régénérant et dopant des cellules

Grâce à ses qualités cicatrisantes, l’aloe vera peut aider à recréer du tissu cutané. Une vertu utile pour réparer les épidermes abîmés ou entretenir une peau saine qui souhaite rester jeune plus longtemps ! Il s’impose donc sous forme de crème, fluide ou de sérum pour ses qualités anti-âge. En effet, ses molécules stimulent la croissance des fibroblastes. Situées dans le derme, ces cellules produisent le collagène, qui donne à la peau un aspect jeune et rebondi. En accélérant, le renouvellement cellulaire, l’aloe vera limite l’apparition des rides. Il améliore l’aspect de l’épiderme, qui paraît ainsi plus ferme et lisse en surface.

Le gel apaise les irritations

Il suffit d’entailler une feuille d’aloès pour qu’elle se mette à sécréter du gel, qui enrobe la blessure à la façon d’un pansement réparateur. Elle fait 

de même sur la peau. Hémostatique, bactéricide, anesthésique et cicatrisant, son gel fait merveille sur les brûlures et les petites blessures, tout en atténuant la douleur. Il contient en effet des stéroïdes (hormones naturelles) et des polysaccharides, qui ont des vertus anti-inflammatoires.

On le retrouve dans des soins après-solaire ou adoucissants contre les irritations cutanées. La marque Yves Rocher l’a même intégré dans sa nouvelle ligne anti-imperfections, 

afin d’apaiser les peaux fragilisées et de réduire l’inflammation. Car il possède aussi une action enzymatique légèrement exfoliante (il élimine les cellules mortes en douceur) et astringente (il resserre les tissus). Tout bon pour les peaux grasses.

6 soins réparateurs à l’aloe vera

Un exfoliant bio Un gommage efficace avec sa poudre de coque d’amande, mais tendre aussi car enrichi en aloe vera apaisant. Gommage douceur corps à l’aloe vera bio, Yves Rocher, 10,70 € les 150 ml.

Une crème de jour hydratante Vingt-quatre heures d’hydratation, c’est possible quand on associe l’aloe vera et l’acide hyaluronique ! Crème légère hydratante 24 H jour Hydra Aloe Vera, So’ Bio Etic, 8,95 € les 50 ml.

Un shampoing revitalisant Une formule au naturel qui déploie de la provitamine B pour assouplir la fibre, de l’orchidée pour l’hydrater, plus de l’aloe vera pour l’adoucir. Shampooing fleur d’orchidée & aloe vera, Andrew Barton, 5,99 € les 400 ml.

Un gel SOS À base de jus pur pressé à froid, il nourrit et hydrate, tout en apaisant les brûlures, irritations et gerçures. Un tube à conserver dans sa pharmacie ! Gel aloe vera titré 99,9 %, Planter’s, 13,20 € les 200 ml.

Un doux démaquillage Avec ces lingettes biodégradables, on ose le nettoyage express ! Le plus : le duo aloe vera apaisant et huile d’argan revitalisante, tous deux bio. Lingettes démaquillantes biodégradables, Pure & Natural, Nivea, 3,40 € les 25.